Pour beaucoup, le logiciel libre, fortement lié à l’Internet et à ses modes de communication associés n’est que le prémisse d’une cyber-révolution en marche.
D’ailleurs, au vu d’évènements relativement récents (mobilisation de Seattle du 30 nov 99, succès d’ATTAC, etc.), on ne peut nier que les outils électroniques de communication prennent une place de plus en plus importante dans la mobilisation citoyenne. Le fantasme du cyber-résistant prend forme. On peut même rêver que, malgré le lobbying intense de grosses structures américaines et de spécialistes en propriété intellectuelle, le Parlement Européen ne procède pas à l’imminente modification de l’exception logicielle des paragraphes de la convention de Munich sur le brevetage.
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